Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

France 2 à la « mode djihad »: Pour « La nuit du Ramadan » la chaîne invite le rappeur islamiste Médine qui prône le djihad…

Lire aussi: La haine sans voile : et maintenant, voici le rap « islamo-racaille »

France 2, en TV dhimmi, présente ainsi l’émission « Six portraits de jeunes citoyens épanouis, pleinement engagés dans la société ». Le rappeur islamiste Médine est surtout connu pour être engagé dans l’Islam radical et son soutien au djihad…

Medine est le rappeur chouchou de France Télévision et de Pascal Boniface qui veut « crucifier les laïcards sur le Golgotha »… Il était déjà l’invité de France 2 en 2014.

Médine traite les « blancs » de sales chiens, de porcs… Mais cela ne gène guère France 2.

Médine est un rappeur Havrais né en 1983. Son père est kabyle de Tizi-Ouzou et sa mère est originaire de Constantine. Il est membre du label indépendant DIN Records.

«L’histoire de Din records c’est l’histoire de Sals’a et proof, deux amis unis par la foi, et par la musique et le goût pour l’écriture. En 1997 ils fondent leur groupe : Ness & Cité. » Ce premier groupe a écrit des chansons aux titres qui laissent rêveurs : « ghetto moudjahidine» ou « Havre de guerre ».

En 2002, Din records devient une SARL et commence à produire une pléiade de rappeurs ayant un point commun : l’Islam. Le I de DIN est d’ailleurs en forme de minaret.

Voici quelques textes des groupes produits par Din Records, maison pour laquelle Médine était « chargé de la communication et de la promotion »:

« Si j’étais blanc, je sortirais sans carte d’identité / Vu que le racisme chez les porcs est commandité »

« Alors écoutes sale chien entends sale chien depuis quand l’être humain se prend pour Dieu sale chien » (en référence aux juges français ne rendant pas la justice d’ Allah)

https://www.youtube.com/watch?v=E7B45h_lAEk

Médine, nous dit-on dans la présentation, appartient à la génération des jeunes rappeurs qui ont le souci d’une vraie réflexion sur la société. Son dernier rapp montre, comment cet homme appartient à une génération qui a le souci d’une vraie réflexion sur la société.

Se présentant comme -ce sont ses mots répétés- islamo-racaille, Médine appelle à la domination de la charia, à la mise des femmes sous la bourqua ; il appelle à en finir avec la loi française, en tant qu’elle contraint l’islam à ne pas être entièrement lui-même ; il invite à purger la société française des laïcards ; il évoque les « nazislamistes » avec une ambiguité qui pourrait lui permettre de dire, si la justice lui demandait des comptes : je suis comme Khomeyni et les Shebab, je suis pour la charia intégrale, mais… dans mon rapp, en réalité, je fustigais les nazislamistes, alors vous ne pouvez rien me reprocher.

Et pour bien montrer la chose au visiteur regardant son clip, le rappeur de la jeune génération ayant le souci d’une vraie réflexion sur la société, fait le signe clair de la mise à mort par égorgement-décapitation, à destination du fondateur de la Riposte Laïque, de Jean François Coppé et d’une troisième personne Nadine Morano.

Sa façon de formuler, dans un clip, sa vraie réflexion sur la société, outre le soutien à la burqa et à la charia remplaçant la loi républicaine née de la révolution, s’est affirmée sans ambiguité : la menace du traitement des apostats et des infidèles, par le moyen préféré de l’Etat islamique.

Avec la gouvernance de Médine commencera la prédication par le djihad et la violence aveugle et sauvage, dont Daesh n’est qu’une des nombreuses et récurrentes facettes.

En chosissant de s’appeler Médine, le rappeur a donné le contenu permanent de son message et de la vraie réflexion qu’il veut avoir sur la société.

En d’autres termes, les menaces contre Pierre Cassen et contre Jean François Coppé ne sont pas accidentelles. Elles résument les buts poursuivis par l’islamo-racaillisme (pour reprendre le terme employé, avec délectation, par Médine soi-même).

Elles situent cet islamo-rapp, et d’autres, comme un des outils de la violence qui doit se décliner, à cette étape, dans des agressions individuelles, au couteau, à la voiture bélier, en accidents de circulation, en brûlant des voitures ou en incendiant des cages d’escalier.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :